"le vent se lève"
Je dessine souvent mes pieds au cinéma...
Dans la même salle, sur les mêmes sièges tortionnaires de fessiers, 10 ans après "Land and Freedom" et ma rencontre baffante avec le cinéma de Ken Loach, je viens de voir "Le Vent se lève".
Il y a comme des cycles qui se bouclent en ce moment...
Ou bien je suis sensible aux signes actuellement.
Hier, je me suis retrouvée confrontée, à plusieurs reprises à mon enfance normande: un spectacle de François Morel à la télé, les motifs d'assiettes familiales et une décoration grand-maternelle à Emmaus...
(bon d'accord, il y a fort à parier que les objets d'Emmaus rappellent pas mal d'entre nous vers l'enfance)
Une soirée crèpe-vin-rouge-dvd m'a aussi ramené à la douce nostalgie des années fac et collocation...
C'est pas grave, c'est juste le temps qui passe.
Et c'est plutôt agréable de se poser face à ses petits riens.
La douceur des souvenirs.
C'est toujours mieux que de se fritter pour des idéaux qui se retournent contre eux-mêmes et de faire face à l'absurdité de la nature humaine, politique et sociale. Dénouer une corde qui se renoue perpétuellement.
Ah ! putain les films de Loach !!!
ps: si vous avez compris les interstices de ce post, grand bien vous fasse.
Dans la même salle, sur les mêmes sièges tortionnaires de fessiers, 10 ans après "Land and Freedom" et ma rencontre baffante avec le cinéma de Ken Loach, je viens de voir "Le Vent se lève".
Il y a comme des cycles qui se bouclent en ce moment...
Ou bien je suis sensible aux signes actuellement.
Hier, je me suis retrouvée confrontée, à plusieurs reprises à mon enfance normande: un spectacle de François Morel à la télé, les motifs d'assiettes familiales et une décoration grand-maternelle à Emmaus...
(bon d'accord, il y a fort à parier que les objets d'Emmaus rappellent pas mal d'entre nous vers l'enfance)
Une soirée crèpe-vin-rouge-dvd m'a aussi ramené à la douce nostalgie des années fac et collocation...
C'est pas grave, c'est juste le temps qui passe.
Et c'est plutôt agréable de se poser face à ses petits riens.
La douceur des souvenirs.
C'est toujours mieux que de se fritter pour des idéaux qui se retournent contre eux-mêmes et de faire face à l'absurdité de la nature humaine, politique et sociale. Dénouer une corde qui se renoue perpétuellement.
Ah ! putain les films de Loach !!!
ps: si vous avez compris les interstices de ce post, grand bien vous fasse.